Prosocialité

Ces petits rituels ou évitements traversent les siècles. Mais d'où viennent-ils exactement ? Comprendre leurs origines nous amène à découvrir des pans intrigants de notre histoire collective. C'est aussi 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐨𝐧𝐠𝐞́𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥'𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞, 𝐥𝐚̀ 𝐨𝐮̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐮𝐫, 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥'𝐢𝐠𝐧𝐨𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐨𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐜̧𝐨𝐧𝐧𝐞́ 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞. 

Les personnes superstitieuses excellent à repérer des indices invisibles…mais au prix d'une vitesse de réponse globalement plus lente ! Et oui, leur cerveau scanne TOUT l'environnement à la recherche d'indices utiles. Deux profils émergent :  → 𝐋𝐞𝐬 "𝐝𝐞́𝐭𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬" : cerveau en mode scanner permanent, hypersensibles aux indices.  → 𝐋𝐞𝐬 "𝐟𝐨𝐧𝐜𝐞𝐮𝐫𝐬" : concentration maximale sur l'objectif, filtrage actif des distractions. Ni l'un ni l'autre n'est "meilleur

Une recherche britannique vient de franchir une frontière inattendue : celle entre la génétique et notre relation aux autres animaux. Les chercheurs ont analysé l'ADN de 161 étudiants pour examiner 5 variants du gène du récepteur à l'ocytocine(OXTR), cette "hormone de l'attachement" bien connue pour son rôle dans nos liens sociaux humains. 𝐋𝐚 𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐦𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫𝐞 : Une petite variation dans notre ADN influence notre capacité à ressentir de l’empathie envers

Un sticker qui nous demande d’éteindre la lumière, une étiquette dans une chambre d’hôtel pour qu’on garde nos serviettes, une autre encore pour penser à baisser la clim ou le chauffage avant de partir…On en voit partout, de ces petits 𝗥𝗔𝗣𝗣𝗘𝗟𝗦 pour améliorer nos gestes du quotidien. 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕-𝒊𝒍𝒔 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒇𝒇𝒊𝒄𝒂𝒄𝒆𝒔 ?

Les mots qui nous viennent spontanément quand on pense à quelque chose ne sont pas neutres. Ils orientent discrètement nos comportements. Ce que cette étude nous suggère, c’est qu’en travaillant sur nos représentations (les mots, les symboles, les émotions), on pourrait préparer le terrain d’un engagement plus profond envers l'océan.

Cette étude montre que 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐭𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐬𝐨𝐮𝐬-𝐞𝐬𝐭𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐞𝐧𝐭𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞 𝐛𝐢𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐱𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐝𝐞̀𝐬 𝐥’𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐜𝐞.

Je savais que les écrans pouvaient nuire à notre bien-être, mais je pensais que tout ou presque se jouait sur le temps passé en ligne. ⚠️ Mais l’étude menée par Kelly et Sharot (2024) vient rebattre les cartes : 𝐜𝐞 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧 𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐜𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐪𝐮𝐨𝐧𝐬.

Pourquoi les personnes les plus éloignées des normes morales donnent parfois les discours les plus vertueux ? Ce carrousel explore un modèle économique de l’hypocrisie, entre image sociale, stratégie et faux-semblants.

Et si on apprenait la compassion à l’école ? Une étude révèle des effets intéressants sur les enfants en seulement 12 semaines.